Alexandre Despatie : des nouvelles de sa remise en forme

Vous hésitez à vous remettre à l’entrainement? Vous avez besoin de motivation? Je vous invite à écouter cet entretien avec Alexandre Despatie. Ayant pris sa retraite d’athlète en 2013, il n’a pas réussi à reprendre l’entrainement de façon assidue depuis. Avec l’adoption de son rôle à titre d’ambassadeur pour Nautilus Plus, réussira-t-il?

Je lui ai donné rendez-vous afin de prendre de ses nouvelles et savoir comment va l’entrainement depuis le début de l’automne 2022. Nous avons enregistré le tout au studio SF et c’est avec plaisir que la version intégrale en format vidéo est accessible pour votre écoute!

Entrevue exclusive complète avec Alexandre Despatie

Dans cet entretien, nous avons discuté de ses craintes initiales à débuter l’entrainement, des raisons qui l’ont motivé à choisir Nautilus Plus et nous avons aussi aborder ce qu’il trouve le plus difficile à maintenir ses habitudes d’entrainement. Voici donc ici un bref résumé de cette entrevue exclusive avec Alexandre Despatie.

Karine Larose : C’est une première pour Nautilus Plus d’avoir un ambassadeur. « Nous souhaitions confier ce rôle à quelqu’un qui a une réelle intention de se remettre en forme. Pourquoi as-tu accepté d’être ambassadeur pour Nautilus Plus spécifiquement? »

Alexandre Despatie : « Cette association avec Nautilus Plus est arrivée au bon moment dans ma vie. Après avoir pris ma retraite du sport de haut niveau, j’ai pris une longue pause… trop longue d’ailleurs! Ça a pris une bonne année et demie avant de reprendre l’entrainement. Et depuis ce temps, ça a été très difficile de retrouver un rythme plus constant. » À 37 ans, Alexandre réalise qu’il n’y pas de mauvais moment pour commencer et qu’il faut saisir les opportunités. « Ça fait quelques mois maintenant que je m’entraine et je suis tellement bien! J’ai retrouvé ce désir-là de bouger, pas parce que c’est écrit dans mon horaire, mais parce que j’ai hâte de bouger. ».

L’assiduité, c’est payant!

Depuis qu’il a commencé à s’entrainer dans les centres Nautilus Plus, Alexandre s’entraine entre trois et quatre fois par semaine.

KL : « Il y a quelques semaines, je t’ai appelé pour te féliciter pour ton assiduité. Et tu m’as répondu avec surprise dans ta voix : « Bien, j’aime ça! ». Pourquoi es-tu surpris d’aimer ça? »

Il faut savoir qu’en tant qu’athlète, Alexandre s’entrainait par passion, mais aussi par obligation. C’était son travail. L’approche à l’époque était donc bien différente. Aujourd’hui, il ne se fixe pas des objectifs de « super performance » comme auparavant.

AD : « (…) maintenant, j’ai des objectifs personnels. Et un de ceux-là, est de garder une constance. (…) Je ne me mets pas de pression d’atteindre des objectifs précis. Ça fait des semaines que je m’entraine et ça évolue, ça bouge. Je vois que mon corps évolue et mon énergie (aussi). Mais surtout, j’ai le goût d’y aller ». Le sentiment de bien- être ressenti après avoir terminé un entrainement le comble. « Ça c’est un feeling que ça fait longtemps que je n’avais pas vécu. Et j’aime ça! La réponse est sincère et honnête. C’est vrai… j’aime ça. Par exemple hier, ce n’était pas prévu que j’aille m’entrainer et j’ai décidé d’y aller quand même. Je ne regrette pas du tout, au contraire! Je me sentais super bien pour le reste de la journée. (…) Tu vas pratiquement toujours regretter de ne pas être allé t’entrainer. Alors que quand tu y vas, j’ai rarement sinon jamais entendu quelqu’un dire je n’aurais pas dû aller m’entrainer aujourd’hui! On peut que se sentir bien. »  

Être bien accompagné

KL : Nous savons à quel point le fait d’offrir des professionnels de niveau universitaire qui accompagnent nos membres est motivant pour diverses raisons. J’ai demandé à Alexandre comment il percevait le fait d’être accompagné par Antoine, son kinésiologue, dans le cadre de son entrainement actuel.

Ayant été suivi par des coachs tout au long de sa carrière et ayant reçu du feedback à répétition, il saisit l’importance de cette connexion avec un entraineur. De surcroît, certains entraineurs, dans le passé, le voyaient encore comme un « athlète olympique » et le poussaient au-delà de ce qu’il souhaitait. Mais aujourd’hui, il n’est plus un athlète dit-il. Ce qu’il aime maintenant, c’est que son entraineur comprenne là où il est aujourd’hui et là où il souhaite se rendre demain.

AD : « Aujourd’hui, j’aime le suivi, mais je ne sens pas la pression comme celle que je ressentais en tant qu’athlète. Mon entraineur comprend ça. Je sens qu’on travaille ensemble, et on s’amuse dans le processus. »

Un abonnement qui récompense vos efforts

KL : Chez Nautilus Plus, nous sommes les seuls à offrir l’abonnement Boomerang qui récompense financièrement ses membres à chaque visite. Ces ristournes se cumulent pour éventuellement être utilisées afin de payer son prochain paiement d’abonnement ou encore pour s’acheter des produits et services. « Comment décrirais-tu l’impact d’être récompensé financièrement à chaque entrainement? »

AD : « J’adore ce concept. Et ce n’est pas comme, on te donne 100$ de ristourne d’un coup, parce que ce mois-ci tu es venu x nombre de fois. (…) Au début, je me disais un dollar cinquante (1,50$), ce n’est pas grand-chose… mais là j’ai compris! Car ça va à l’accumulation. Quand tu t’entraines pendant une semaine, deux semaines, un mois et deux mois, et que soudainement tu vas regarder ton compte et tu réalises que t’es allé t’entrainer plusieurs fois. C’est à ce moment que tu réalises « Le plus que j’y vais, le plus que j’ai de ristournes, le plus que ça va être profitable à la fin! J’adore ce concept-là! C’est une autre motivation de plus. Tu peux réinvestir dans toi-même, dans ton processus de devenir plus en forme pour réaliser tes objectifs ».

Le plus difficile pour Alexandre Despatie…

KL : En terminant, on le sait que de s’entrainer n’est pas toujours facile. « Toi, Alexandre, qu’est-ce que tu trouves le plus difficile? »

AD : « C’est le fait de comprendre et surtout d’accepter que ça prend du temps avant de voir et de ressentir des changements. Mais des changements qui sont faits de la bonne façon, dans le bon processus, ça prend du temps. (…) Il ne faut pas se dire « Câline, ça fait 3 semaines que je m’entraine pis y a rien qui change », c’est normal! Ce n’est pas supposé qu’en trois semaines tu perdes 12 livres et que soudainement t’es full abdos et que t’es capable de courir un marathon. (…) Encore aujourd’hui, je voudrais tout, tout de suite et maintenant en termes de résultats. Ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Je dois accepter et continuer (…) C’est difficile au début, mais une fois cette barrière traversée, ça en vaut la peine. »

Alexandre a été généreux de son temps et dans ses réponses. Je le remercie pour son honnêteté. Je suis certaine que plusieurs se sont reconnus dans ses propos. Malgré qu’on ne soit pas tous d’ex-athlètes, on réalise à quel point le processus de remise en forme pose des défis similaires. Les bénéfices sont pourtant si nombreux et c’est en demeurant assidu qu’on peut en profiter pleinement. Il faut être patient, respecter la règle des petits pas et être persévérant. Sans qu’ils soient nécessairement visibles, plusieurs changements s’opèrent lorsqu’on intègre l’exercice physique régulier dans sa vie. Puisque ce n’est pas toujours facile, aussi bien s’offrir les meilleures conditions et l’encadrement nécessaire pour optimiser ses chances de réussir.

Alors, quand est-ce que vous (re)commencez à prendre soin de vous par l’exercice?

Alexandre Despatie : des nouvelles de sa remise en forme est un billet publié par Nautilus Plus. Le blogue Nautilus Plus vise à aider les gens dans leur cheminement de mise en forme à travers des articles sur l'entraînement, la nutrition, la motivation, des exercices et des recettes santé.
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